Un ange est passé par Paris ...
C'est marrant comme il est parfois très compliqué de mettre des mots sur certaines choses...
Pour la troisième fois nous avons vu John Butler en concert. Et encore une fois, la claque fut belle.
C'est un bien joli combo CD+DVD qui est sorti le 29 avril dernier : la captation d'une semaine de concert des Dropkick Murphys. 8 ans -déjà- après le mythique Live on St-Patrick's Day, ce sont 20 nouvelles chansons qui s'offrent en concert.
Retour à la normale. Après l'expérimentation de la semaine dernière, retour à du chéri, de l'aimé, du vrai, du lourd. Les Dropkick Murphys étaient parisiens pour un soir, dans la mythique salle de L'Olympia.
Oui, cela ne s'invente pas. On m'aurait dit un jour que je verrai Depeche Mode en concert, je lui aurais ri au nez. Parce que personnellement Depeche Mode ça n'avait jamais été ma tasse de thé. Mais vraiment pas. Mais voilà je suis un homme de défi, alors j'ai accompagné la famille et les potos.
OK les amis, vous vouliez une revue faite par un mec adhérent à la secte U2 depuis que le monde est monde, d'un mec capable d'appeler son ptiot Bono (ou Grégoire), voila à mon clavier pour écrire quelques petites bafouilles... But avoué de l'opération et mission proposée par vos serviteurs habituels: objectivité ...
Avant d'attaquer les gros morceaux de ces dernières semaines (Gros Bruce et les potes Iron), j'ai envie de revenir un peu en arrière. Nous nous trouvons quelques jours avant les Rage, le cousin et moi avons rendez-vous à un authentique concert Rock'n'roll, chose bien rare ces derniers temps. Sur la scène du Trabendo le 29 mai dernier, Ladies & Gentleman, les Présidents of the United States of America !
Mardi 8 avril 2008. Cette date restera gravée dans ma mémoire à jamais, parce que c'est ce jour-là que j'ai enfin vu les Dropkick Murphys en concert. Et quel concert. Presque deux semaines ont passé depuis, et j'ai encore des tas d'images plein la tête, et la voix d'Al Barr dans les oreilles.
Mmm Rammstein. Ce simple nom de bourgade allemande suffit à me hérisser les poils du dos. Non pas que je connaisse la ville de la banlieue de Kaiserslautern, mais c'est le nom qu'ont choisi, voilà maintenant une bonne dizaine d'années, 6 est-allemands pour leur groupe. Et quel groupe.