Maiden à Bercy
8 décembre 2006Mieux vaut tard que jamais, voici une tite chronique sur le concert de Maiden à Bercy du 28 novembre dernier où nous nous sommes rendu le coeur guilleret la semaine dernière.
Mieux vaut tard que jamais, voici une tite chronique sur le concert de Maiden à Bercy du 28 novembre dernier où nous nous sommes rendu le coeur guilleret la semaine dernière.
Memories of Murder. Ah. Memories of Murder... Ces trois mots ont le mérite de me faire voyager. Son réalisateur Joon-ho Bong aura donc mis 3 ans pour nous envoyer son nouveau bébé, que dis-je son nouveau joyau, car comme pour MoM en 2003, qui mettait un grand coup de latte dans le film policier, genre endormi depuis longtemps, par son ton décalé, son humour, The Host est à n'en point douter un nouveau chef d'oeuvre pour le pépère, qui opère cette fois-ci dans le domaine fantastique. Et dieu que cette phrase est longue.
Dave et ses joyeux drilles are back, et c’est pas d’la merde les enfants. Une double captation vidéo et audio (traduit en français 1 DVD et 1 CD) de l’un de leurs rares concerts acoustiques de cet été 2006 dans la bourgade californienne de Hollywood a pointé le bout du nez en ce début de semaine dans toutes les bonnes crèmeries, ou comment se délester sainement de quelques brouzoufs et se laisser bercer par les jolies mélodies écrites, que dis-je les petits bijoux ciselées tels des orfèvres par nos amis des Foo Fighters. Plaisir des yeux et des oreilles, plaisir du cœur et frissons suprêmes de bonheur garantis.
Pourquoi faut-il aller voir Le Prestige (ou "The Prestige"), film américain de Christopher Nolan, produit par Warner et Touchstone en l'an de grâce 2006 et d'une durée de 128 minutes ? Voici 20 raisons plus ou moins pertinentes pour s'y rendre :
Mmm Rammstein. Ce simple nom de bourgade allemande suffit à me hérisser les poils du dos. Non pas que je connaisse la ville de la banlieue de Kaiserslautern, mais c'est le nom qu'ont choisi, voilà maintenant une bonne dizaine d'années, 6 est-allemands pour leur groupe. Et quel groupe.
Je vous sors le titre en VO, juste pour me faire oublier la VF de ce très bon film. En même temps, je suis un vendu, j'ai aimé tout ce que j'ai vu de Guillermo del Toro jusqu'ici - Cronos, Mimic, l'Echine du Diable, Blade 2, Hellboy -.
Où le lecteur aura le privilège de voir s'établir des connexions pourtant peu évidentes de prime abord entre des artistes portant le nom de Sandi(y), le rugby, Billy Crawford, les séries de TF1 en fin d'après midi et le cassoulet Fleury Michon
Un an après avoir essuyé les plâtres du Zénith de notre belle bourgade avec un fort joli concert de Tracy Chapman, c’est d’un pas gaillard et alerte que nous pénétrâmes l’enceinte musicale dijonnaise new generation pour assister au concert du sympathique troubadour Ben Harper et de ses joyeux acolytes musicos, les Innocent Criminals (rien à voir avec le groupe français des 90’s qui eux d’ailleurs n’etaient pas criminels du tout). Pour parler franchement, on s’attendait à voir un moment musical de qualité, mais de là à ce que ça atteigne un niveau pareil…
Grandiose. Grandissime. Exceptionnel. Merveilleux. Sublime. Remarquable. Marquant. Mémorable. Sensationnel. Enorme. Prodigieux. Jouissif. Terrible. Inoubliable. Bat. Encore.
Un bien sympatoche film qui nous narre l'histoire de Nick Naylor (Aaron Eckhart), porte parole du lobby du tabac au USA. Pas évident de défendre l'indéfendable en essayant de préserver son gamin. Enfin bon le chiard n'est pas non plus le sujet principal...