Kimberley Smith est né dans les brouillards de Londres (Thierry Hazard rules !) en 1960, et elle devient Kim Wilde, pour faire plaisir à son papounet, producteur et auteur des chansons de sa jolie fille, et qui a connu une belle carrière de rocker dans les 50’s sous le patronyme de Marty Wilde. Alors, elle est blonde, elle a des tendances à faire un peu de new-wave, un de ses premiers morceaux s’appelle Water on Glass : il en faut pas beaucoup à certains pour tout de suite la considérer comme un ersatz (plutôt pas mal quand même le ersatz, NdA) de Debbie Harry, la chanteuse du groupe Blondie…
D’entrée de jeu, premier album en 1981 et premier succès retentissant avec « Kids in America ». L’album éponyme contiendra deux autres gros tubes, « Chequered love » (présentée ici) et « Water on Glass » (j’ai retrouvé qu’un passage téloche, c’est du playback mais quand même qu’est ce qu’elle dégageait…).
Moins gros tube que Kids in America, « Chequered Love » possède tout de même une arme plus redoutable, en l’occurrence son clip, tourné dans une salle de bains. Kim prend une douche(…), se dandine entre des lavabos, et est entourée de musicos pervers et voyeurs (ne ratez surtout pas la fin du clip, et son appareil photo à 90° d’un autre temps, j’en avais un ^^). Bref, une ambiance visuelle très particulière pour un morceau plutôt entraînant musicalement parlant. Je ne suis pas très objectif concernant Kim, c’est une de mes chouchoutes des 80’s…
En cadeau, en plus du clip officiel (ambiance particulière aussi), une captation TV de « Kids in America » plutôt bien troussée (la captation, pas Kim… Encore que… ^^)