« Maria Magdalena » fut un méga tube partout dans le monde, une sacrée carte de visite pour une nénette qui venait de sortir là son 1er single en solo, habituée auparavant à chanter dans le groupe Arabesque (dont en France, on a pas trop entendu parlé) : nonobstant, des morceaux plutôt pas dégueu comme ce petit « Take Me Don’t Break Me » qui fut leur plus gros tube.
Le clip qui illustre Maria Magdalena, à défaut de faire la part belle à des découpages monstrueux, à des effets spéciaux improbables et des déhanchés hyper suggestifs, se concentrent sur la simplicité, et c’est là que réside tout son charme : et puis cette guitare clavier et le guitariste qui piaille, moi ça m’a toujours amusé ! 6ème place au top 50 en février 1986, c’est plutôt une belle perf’.
Elle a continué sa petite carrière pop synthé jusqu’au début des 90’s, où elle s’associa à son mari pour rigoler dans Enigma (adepte des grands écarts, passer d’un pseudo Abba rockabilly à de la dance religieuse, fallait oser).