Bien sûr ici, cette chanson n’a rien de festif, il s’agit plutôt d’une prophétie pour montrer à quel point l’homme entêté par son besoin de profit, de gain de temps et d’égoïsme, pourrait à plus ou moins long terme signer sa perte et celle de notre chère petite planète (ce que l’on commence déjà à faire par ailleurs, malheureusement).
N’y voyez aucun message à portée électorale quant aux échéances régionales de dimanche (même si c’est toujours bien d’aller s’exprimer), mais juste une chanson terriblement dans l’air du temps. Elle est extraite d’un splendide album, « La Grand-Messe », sorti en 2004. Album sur lequel je reviendrai à d’autres occasions, notamment pour parler de ma chanson préférée de cet opus.
Une dédicace au petit Martin, qui m’a fait découvrir ce fier groupe québécois. Merci à toi mon gaillard !