Je ne pouvais pas ne pas le faire. Vous aurez droit à une bafouille sur Black Ice, dernier album studio d’ACDC sorti ce lundi.Lors de la première écoute samedi matin sur le site de RTL -pouvais pas attendre hein-, ça m’avait semblé bien sympatoche, sans plus. Du bon ACDC, du pêchu qui fait plaisir.
Et bien après avoir acquis l’objet, écouté et réécouté l’objet, force est d’avouer que c’est un très bon cru qui emporte l’adhésion définitive après plusieurs écoutes. Non pas que les premières soient douloureuses non. On a pas affaire à un Blow up your video, hein.
Pour revenir sur l’achat en deux mots, vous aurez le droit de choisir la couleur de la typo AC/DC de la jaquette, disponible en rouge, bleu, jaune et blanc. A vous de voir, en bon puriste j’ai pris rouge.
Bon alors, la première chanson, premier single, est peut-être un poil long et plan plan, mais après plusieurs écoutes, ou selon le moment de la journée, et bien on ne peut pas s’empêcher de taper du pied. Ce Rock’n’roll train est une belle mise en bouche quoi.
Skies on fire est du même tonneau, mais personnellement mon gros kiff vient après avec Big Jack, encore une fois convenue, mais qui me fait opiner du chef comme c’est pas permis. Ca monte gentiment, y a du ptit riff sympa, moi j’en demande pas plus, d’autant que le père Johnson miaule toujours aussi bien. Alors on va bouder son plaisir de retrouver nos petits vieux préférés.
Anything Goes a un ptit je ne sais quoi dans le son qui me fait penser au 90’s. Du tout bon. War Machine, bien balancée est un bon retour à l’offensive, comme si toutes les douceurs qui précédaient n’étaient qu’un apéro. Toujours classique, mais diablement efficace, tout comme Smash n’ Grab et surtout Spoilin for a fight… et puis je vais pas toutes vous les faire, puisque ça continue dans le bon rock à papa, du rock n’ roll pur jus qui fait bien plaisir aux esgourdes, qui ne révolutionne pas l’univers AC/DC mais qui est loin d’y faire tâche.
En deux mots : la classe. Vivement Bercy.