Note pour plus tard : se garer aux abords du Stade de France un soir de concert, c’est la merde. Préférer le train, même à 100 euros.
Non, mais parce qu’on a manqué l’essentiel du set de Slash & friends, et que ça fait bien chier, vu que les deux reprises de Guns n’ Roses que nous avons pu voir ouïr étaient fort réussies (Sweet child of mine et Paradise City).
Il n’a pas fallu attendre bien longtemps avant de voir débarquer les boys. Sans surprise, c’était le même concert qu’à Bercy et au SDF l’année précédente. Seule l’excellente High Voltage remplace la fadoche Anything Goes, et ça personne ne s’en plaindra. De toute façon, on ne peut pas se plaindre de grand chose. C’était fameux. De bout en bout. On pourra grogner un peu à propos du son, mais le fait est que nous étions loin de la scène, ce n’est donc pas un hasard.
Mais quelle ambiance de malade ! Un public reprenant à tue tête les chansons, des enfants hyperactifs headbangants et cornant à l’envie, des cornes clignotantes -ou pas- dans toute l’enceinte – Satan que c’est beau la nuit- … Ajoutez à cela un sublime défilé de sous-tifs sur The Jack -merci les filles-, un solo encore une fois bien bien bien bien troussé par l’ami Angus.sur Let There be Rock et vous obtenez encore un concert ma-gni-fique.
Espérons maintenant que les boys ne raccrocheront pas tout de suite les instruments.