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A la fin des années 70, Alain Bashung est un peu dans le creux de la vague. Plusieurs échecs commerciaux, dont son dernier album, et c’est déjà un peu la dernière chance avec le bien nommé « Roulette Russe ». D’ailleurs lors du 1er pressage, point de « Gaby Oh Gaby » sur la galette en 1979, heureusement l’erreur est réparée en 1980, et là c’est le début du succès et de la gloire.
Il faut reconnaître que ce titre , malgré sa légèreté assez épatante, conserve malgré ses 30 ans une frâicheur, une désinvolture et une classe totalement représentatives de l’artiste et de l’homme. Et en plus, y a du saxo, alors …
Et je me demanderai toujours d’où lui est venu l’idée de nous sortir ses deux dernières phrases finales qui sont dans mon panthéon perso :
Alors à quoi ça sert la frite si t’as pas les moules
Ca sert à quoi l ‘cochonnet si t’as pas les bou-ououououles ?
En cadeau, un autre très beau morceau issu de cet album, « Bijou, Bijou ».